‪Ma grand-mère alsacienne s’est réfugiée ici, dans la Drôme en 1940.‬

‪En 2019, la montée des nationalismes redevient un danger.‬ Un danger mortel pour l’Europe. Brexit, Orban, Salvini sont des signaux graves, le début de la déconstruction européenne est imminent outre-Manche. Je ne le dirai jamais assez: notre Europe, notre jeune Union européenne, est très fragile.‬

‪Alors le 26 mai la liste Renaissance doit rassembler, des écologistes aux agriculteurs, des juppéistes aux sociaux-démocrates, du Modem à LREM, du mouvement radical de gauche à nos colistiers grec et italien, tous Européens de cœur.

Ce 26 mai, cette liste doit battre l’extrême-droite. Vaincre nos pires démons, qui ont arraché à ma grand-mère sa jeunesse, elle qui à 12 ans fuyait Strasbourg pour la Drôme, avec sa mère et sa sœur. Le 26 mai, c’est simple: il faut voter, car chaque vote compte pour les décisions européennes des cinq années à venir. Et quelles années! L’avenir ne nous fera pas non plus de cadeaux.

Merci aux colistiers Sophie Segond et Philippe Gudin, la députée passionnée Mireille Clapot, le maire de Saint-Paul-Trois-Châteaux Jean-Michel Catelinois, les Jeunes avec Macron – Drôme survoltés sous le micro d’Aurore Verplancken – merci aussi pour le livre de Cédric Villani que je lirai en échange du petit livre bleu écossais.