Invité à l’école des Mines de Nancy pour débattre du Brexit, j’ai démontré que 1 était inférieur à 28, même en Europe. Le tout à redécouvrir en vidéo ici.
A quelques mois de la fin de l’adhésion du Royaume Uni à l’Union européenne (prévue le 29 mars 2019), j’ai eu le plaisir d’expliquer et de répondre aux questions des étudiants de quatre écoles d’ingénieurs le mercredi 19 décembre.
Les Jeunes Européens Lorraine sont à l’initiative de cet échange sans langue de bois sur l’Union européenne et ses coulisses, bravo à eux pour cette organisation! Les explications mais aussi les exemples concrets manquent souvent en France pour s’approprier le Brexit mais aussi l’Union européenne dans son fonctionnement, ce fut donc l’occasion de partager quelques histoires, en 40 minutes de présentation et autant d’échanges.
Conclusion préliminaire du Brexit : 1 < 28.
Pour revoir notre débat à Mines Nancy sur le Brexit, c’est par ici – merci à Bastien et la Présidente des Jeunes Européens Lorraine qui ont organisé ce débat, et à Elias pour la vidéo.
Enfin, merci au Professeur Dahoun pour sa modération et surtout la visite inoubliable qu’il nous a offert par la suite, au sein de l’Institut Jean Lamour, où les technologies de demain sont inventées avec des financements européens conséquents. L’UE finance, par exemple, les équipements scientifiques de cet institut de renommée mondiale. Avec 7,2 millions d’euros du fond FEDER, ce sont des microscopes uniques au monde et des tubes d’analyse sous ultra-vide qui permettent aux PME de toute la région de créer des produits ultra-innovants.
Les futurs micro-processeurs, les automobiles plus légères moins chères et plus résistantes, les QR codes en métaux: la Meurthe-et-Moselle n’a rien à envier aux universités américaines de Yale ou de New York, qui viendront profiter des équipements européens en mai 2019.
